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Ce document est tout à fait exceptionnel. Il relate la découverte extraordinaire du grand mathématicien Ivan Panin. Il démontre mathématiquement, donc de manière inattaquable, la totale inspiration du texte biblique jusque dans ses moindres détails.
Un des événements les plus remarquables de notre époque, est la préparation par Dieu d'un individu à produire des évidences positives qui anéantiraient complètement toutes les critiques bibliques et qui renverseraient l'athéisme, où donc les hommes sincères et intelligents devront faire face aux faits. Encore plus sensationnel est le fait que cet individu soit un Nihiliste russe Né le 12 décembre 1856 ayant comploté contre le tsar, il fut contrait de se réfugier en Allemagne puis aux États-unis. Il étudia à Harvard, savant et mathématicien, et se converti à Jésus-Christ. Il réussit brillamment ses études et devient un écrivain et un conférencier très recherché.
Au moment même où l'organisation athéisme s'étendait pour prendre possession de la Russie et utilisait ses vastes ressources pour semer les graines de l'athéisme dans chaque nation de la terre, Dieu lui, préparait son Russe Yvan Panin pour avancer les preuves scientifiques de l'inspiration verbale et absolue des Saintes Écritures dans les textes originaux.
Dr Panin, qui est décédé en octobre 1942 après 50 ans de recherches sur les numériques de la Bible, n'était pas le premier à découvrir qu'il s'y trouvait une étrange structure mathématique tout au long de la Bible. Il y eut Browne dans son "Ordo Séculareum" et Grand dans "Numérical Bible" et Bullinger dans "Numbers of the Scriptures". Ils ont tout avancé plusieurs exemples frappants de figures numériques dans la Bible. Néanmoins il reste que Dr.Panin en sacrifiant sa vie entière à la tâche de découvrir que chaque lettre des livres hébreux et grecs est numérotée, et occupe une place spécifique dans l'ordre du nombre total des lettres dans la Bible, la moindre variation étant voulue de Dieu. Étant donné que chaque lettre Hébraïque et grecque comporte une valeur numérique, «les lettres sont utilisées comme figure dans ces langues" chaque mot, expression, phrase et paragraphe, ont une somme arithmétique bien définie.
Dr. Panin s'est dévoué avec tant de persévérance à compter les lettres et en déchiffrant tout problème arithmétique qu'il s'est souvent épuisé physiquement. Ses ouvrages étaient volumineux et ses découvertes en apparence sans fin. I1 était l'auteur d'un volume "Structure of de Bible" et d'une révision du Nouveau Testament basé sur ses découvertes numérique.
La démonstration de Panin des séries de système complexes, pratiquement indéfini dans les textes hébreux et grecs, toute séquence, combinaison, proportion etc... suivant un plan uniforme de la Genèse à l'Apocalypse, est sans aucun doute la réponse de Dieu à l'athéisme moderne et aux grandes critiques et sa justification de l'inspiration verbale et absolue des Écritures.
La découverte résout plusieurs questions de texte. Elle prouve que les livres de notre Bible actuelle et seulement eux, ont les figures requises. Elle règle des disputes de longue date dont certains savants voudraient éliminer certaines parties de la Bible. La doctrine de l'autorité divine des Écritures, a toujours été pleinement soutenue par les preuves de l'accomplissement des prophéties, des profondeurs inépuisables de la vérité révélée, de son incomparable pouvoir sur la vie des hommes, de son indestructibilité et du Testament de Jésus-Christ, le Fils de Dieu. Cependant quelques-uns ont été habitués à écarter ces lignes d'évidences comme non-scientifiques. Dr.Panin a soumis des preuves scientifiques concluantes que la Bible ne peut être le produit de l'intelligence humaine seule.
Cette preuve se retrouve dans le phénomène fantastique numérique, dans la véritable structure des manuscrits hébreux et grecs.
Dr.Panin a démontré, soit que chaque auteur des Écritures était un génie littéraire et mathématique sans égal ou bien qu'il écrivait par l'inspiration du Saint-Esprit. Le professeur John C Banks, un inestimable successeur du Dr.Panin, démontrait des évidences numériques au même titre.
Panin a exposé ses découvertes aux lecteurs du journal "NEW-YORK paper" dont des copies ont été envoyées aux dirigeants éducateurs sceptiques et scientifiques en leur lançant un défi : Qu'ils réfutent si possibles le phénomène auquel il portât tant d'attention. Depuis ce temps, plusieurs autres sceptiques appris ont été confrontés avec la même évidence, et pas même un seul fut capable de la mettre en doute. Quelques-uns l'ont défié de retrouver la même structure mathématique des classiques Hébraïques et grecques en dehors de la Bible. Par conséquent, Panin accorda beaucoup de temps à l'examen de d'autres écrits sans le succès de retrouver pareil phénomène. De telles figures n'apparaissent pas dans les sept livres (Apocryphes) rajoutés par l'église romaine à leurs Anciens Testaments.
LE CHIFFRE DIVIN
C'est un fait bien connu que le nombre 7 se retrouve d'un bout à l'autre de l'univers. C'est sans aucun doute le chiffre du Créateur et le chiffre de la perfection, du fondement et de la plénitude. Cette loi du 7 se retrouve non seulement à travers la création, mais elle se retrouve nombre de fois sur toute la surface de la Bible et elle apparaît toujours de façon significative. De plus, des étudiants attentifs ont souvent été surpris de voir que ce chiffre apparaissait de façon inattendue. Toutefois les sceptiques peuvent attribuer ce fait à l'écrivain, en considérant 7 comme un chiffre mystique et en étudiant pour écrire des phrases comportant 7 mots exactement ou développer brillamment des sujets sur 7 points.
L'ouvrage de Panin toutefois ne traite pas avec les traductions mais avec l'hébreu et le grec, c'est une folie d'essayer d'obtenir l'inspiration verbale de la version King James ou de toute autres versions. Les difficultés de traduction ont été énormes, c'est un fait bien connu que le changement constant de l'usage de la langue a interprété plusieurs mots dans notre traduction anglaise ou française pratiquement démodée à cause des nombreux essais de traduction en langues modernes.
Mais comment Panin a-t-il pu retourner aux originaux puisque nous ne savons pas si nous avons des originaux. La réponse c'est que la comparaison de centaines de manuscrits préservés pour nous démontrer une uniformité qui prouve une source commune Le texte qu'utilise Panin pour ces dénombrements est la révision des textes hébreux pour l'Ancien Testament, le texte de Wescott et le texte de Hart pour le Nouveau Testament. I1 est à noter que le compte de Wescott et Hart sur le Nouveau Testament se soutiennent presque invariablement.
Ci-dessous est un exemple extrait sur les genres de phénomènes retrouvés par le Dr.Panin sur ces textes :
E HASARD EST EXCLU
Le premier verser de la Bible (Genèse, chapitre 1, verset 1) contient en hébreu 7 mots et 28 lettres, c'est-à- dire 4 fois 7. Les mots les plus importants, «Dieu» «cieux» et «terre» ont en tout 14 lettres (2 fois 7). Les trois premiers mots contiennent le sujet et l'attribut de la proposition. Ils sont formés de 14 lettres. Les deux compléments ont chacun 7 lettres.
La valeur numérique des trois mots important mentionnée plus haut est de 777, soit 111 fois 7. L'unique verbe, «créa», a la valeur de 203, c'est à dire 29 fois 7. La valeur numérique totale des trois mots se trouvant respectivement au début, au milieu, et à la fin de ce verset est de 133 (19 fois 7)
Citons un autre exemple : le récit de la naissance de Jésus dans l'Évangile de Matthieu chapitre 1, verset 18-25. Ces versets contiennent dans la langue originale, le grec, 161 mots, soit 23 fois 7. Le vocabulaire totalise 77 ou 11 fois 7 mots. On trouve ces mots dans 105, soit (15 fois 7) formes différentes. L'ange utilise 28 mots (4 fois 7), et des 105 formes, il en utilise 35, soit 5 fois 7. Les 77 mots du vocabulaire sont disposés selon l'alphabet par groupe de 7. Marc, chapitre 16 verset 9 à 20, contient, entre autres, les phénomènes numériques suivant. Le nombre total des mots est 175 (25 fois 7) dont Jésus utilise 56 (8 fois 7). Le vocabulaire de ces versets contient 98 mots du vocabulaire, 84 (12 fois n ont été utilisés auparavant par Marc dans son évangile et 14 (2 fois 7) sont employés uniquement ici Par ces derniers chiffres, Panin révèle des combinaisons mathématiques, qui ont une relation déterminée avec des chiffres qui précèdent et suivent. Par ailleurs dans le Nouveau Testament.
Le nombre de mots dans le vocabulaire est divisible par sept.
Le nombre de mots commençant par une voyelle se divise par sept.
Le nombre de mots commençant par une consonne se divise par sept.
Le nombre des lettres dans le vocabulaire se divise par sept.
De ces lettres, celles qui sont des consonnes et celles qui sont des voyelles, les deux sont divisibles par sept.
Le nombre de mots dans le vocabulaire apparaissant sous plusieurs tune forme est divisible par sept.
Le nombre apparaissant seulement sous une forme se divise de la même manière par sept.
Le nombre de noms est divisible par sept. Les nombres qui ne sont pas des noms se divisent aussi par sept. Le nombre des noms propres se divise par sept.
Les noms de mâles se divisent par sept.
Le nombre des femelles se divise aussi par sept.
Le nombre des mots commençant par chacune des lettres de l'alphabet se divise par sept.
Les onze premiers versets de l'Évangile de Matthieu retracent une partie de la généalogie de Jésus. En étudiant les lettres ou en les remplaçant par les chiffres correspondants, on s'aperçoit qu'il existe plusieurs agencements logiques de ce texte, dont le point commun est d'aboutir au chiffre «7» lui-méme ou à un nombre multiple de «7» :
-le passage utilise en effet un vocabulaire de 49 mots grecs différents (7x7)
-en les écrivant sous leur forme la plus simple (celle qui figure d'ailleurs en premier dans tous les dictionnaires...), on s'aperçoit que 28 mots commencent par une voyelle (4x7) et 21 par une consonne (3x7).
Par contre, 7 d'entre eux se terminent par une voyelle et 42 (6x7) par une consonne.
L'ensemble de ces mots représente 266 lettres (38x7) dont 140 exactement (20x7) sont des voyelles, et 126 (18x7) des consonnes.
De plus, 35 mots (5x7) paraissent plus d'une fois dans ce texte, tandis que 14 mots (2x7) n'y figurent qu'une fois.
Du point de vue grammatical, on constate que 42 mots (6x7) sont écrits sous une seule forme, et que 7 mots sont utilisés avec des orthographes diverses (selon leur fonction dans la phrase, comme cela se fait en grec).
I1 y a également 42 noms dans ce vocabulaire (6x7), et 7 autres mots qui n'en sont pas (des verbes, des articles, etc) ; parmi ces noms, 7 sont des noms communs, désignant diverses choses, et 35 (5x7), des noms propres, désignant des personnages Parmi ces derniers, 28 (4x7) concernent les ancêtres masculins du Christ, tandis que 7 noms propres désignent ceux qui n'en sont pas. Ivan Panin complique d'ailleurs cette étude en utilisant «la valeur numérique du mot», qui est le total de l'addition des chiffres de toutes ses lettres.
La Bible est écrite en deux langues ; l'Ancien Testament en hébreu, «les quelques chapitres en chaldéens sont pour les besoins numériques considérés comme hébreu», le Nouveau testament en Grec. Ces deux langues ont cette particularité : Elles n'ont pas de symboles pour les chiffres correspondant à nos figures modernes arabes 1,2,3,4,S,6,7,8,9,0, pour les remplacer, elles se servent de lettre de leur alphabet, et ainsi chaque lettre hébraïque et grecque corresponde à un certain chiffre. C'est ce qu'on appelle la valeur numérique de la lettre. De la même manière qu'un mot est composé de lettre, la valeur numérique d'un mot est la somme des valeurs numériques de ses lettres. La valeur numérique d'une phrase, paragraphe, chapitre, livre ou volume ou bibliothèque, est la somme des valeurs numériques des mots dont ils sont formés.
Au moyen de ces valeurs numériques, les Grecs et les Hébreux ont performés toutes leurs opérations numériques. Mais dans les Écritures un système additionnel est utilisé pour la construction des textes : c'est la Place des valeurs. La place des valeurs d'une lettre dans les Écritures, que ce soit l'hébreu ou le grec, est le nombre de places qu'occupe cette lettre dans l'alphabet. En conséquence dans l'hébreu, les places de valeurs et les valeurs numériques des dix premières lettres sont les mêmes. I1 en est de même pour les cinq premières lettres dans le grec.
Mais la onzième lettre en Hébreu ne correspond pas à onze mais à vingt. Par conséquent sa valeur numérique est 20 mais sa place de valeur est 11, la dernière lettre de l'alphabet Hébreu, la vingt-deuxième correspond à 400. Donc sa valeur numérique est 400 mais sa place de valeur est 22. Ceci s'applique aussi pour l'alphabet grec. Sa sixième lettre correspond à 7 ; ce qui est sa valeur numérique, mais sa place de valeur est 6.
La valeur totale d'une lettre grecque ou Hébraïque ou mot, est la somme de son numérique et de sa place de valeur ; ainsi la valeur totale du mot "Jésus" en grec est 975 dont la valeur numérique est 888 et sa place de valeur est 87. Maintenant remarquer d'autres faits saillants ; La valeur numérique du vocabulaire se divise par 7.
La valeur numérique des diverses formes dans lesquels les mots apparaissent, produisent le même phénomène.
L'énumération ci-dessus effleure à peine l'étendue des numériques que Panin a mis en lumière à l'intérieur de la structure de cette première partie I1 a défié tout homme d'écrire un paragraphe de 300 mots intelligiblement et de produire quelques phénomènes numériques du même genre et de le terminé en six mois. Tout homme qui pourrait le faire réaliserait un prodige Aucun homme ne s'est offert.
Mais plusieurs écrivains des Écritures étaient des hommes choisis d'un milieu de vie très ordinaire ayant peu ou pas d'éducation. Si par exemple Matthieu, Marc, Luc ou Jean avaient essayer d'écrire seulement avec l'esprit des hommes sans l'aide de Dieu et qu'ils auraient produit ces figures numériques harmonieuses que l'ont retrouve tout au long de leurs livres, combien de temps cela leurs auraient-ils pris.
Souvenez-vous qu'avec chaque phrase additionnelle la difficulté de construire sur ce plan augmente de façon géométrique et arithmétique ; car ils doivent trouver le moyen d'écrire chaque paragraphe et ainsi développer constamment les relations numériques fixes pour ce qui vient avant et après.
Mais il reste encore une merveilleuse figure : Le nombre de mots trouvés dans Matthieu et que l'on ne retrouve pas dans aucun des autres livres du Nouveau testament, démontrent une figure numérique bien élaborée. Comment Matthieu savait-il qu'il avait utilisé des mots qui ne seraient pas utilisé dans aucun des 26 autres livres. I1 aurait fallu qu'il ait devant lui tous ces livres et qu'il aurait écrit le dernier.
Toutefois, il arrive aussi que chacun des autres livres montre le même phénomène. Serait-ce que chaque écrivain aurait été le dernier à écrire. Si non alors, peut-on dire que chacun d'eux était liseur d'âme aussi bien qu'artiste littéraire et mathématique jamais égalé et presque non concevable.
Panin a tenté de prouver à l'aide des numériques que chaque livre de notre Bible comporte de telles figures et que chacune était nécessaire pour former le schéma numérique de la Bible en entier et pour qu'elle se développe correctement et que rien ne peut y être rajouté ou retranché dans la Bible telle que nous l'avons 8ailS gâcher ces figures.
Depuis les cinq premiers versets de la Genèse jusqu'au dernier de l'Apocalypse nous retrouvons ces preuves divines. Donc il est certain que ce Dieu de la nature est le Dieu des Écritures. Donc les querelles et discussions qu'apportent les sceptiques ne se font pas avec les croyants de la Bible mais avec Dieu lui-même.
Mais 7 n'est pas le seul chiffre qui donne de l'intérêt. I1 y a aussi d'autres chiffres qui donne des développements aussi intéressants et tous sont significatifs dans leur sens (place). Notre Bible comprend 66 livres dont quelques-uns s'attribuent eux même à un auteur par son nom, tandis que d'autres son anonyme. Ceux qui s'attribuent eux-mêmes à un auteur que ce soit en entier ou en partie sont les suivants : Exo. Lév. Nom. Deut. (ils s'attribuent eux même au moins en partie à Moïse ou bien sont cités ailleurs dans la Bible comme étant les ouvrages de Moïse). Éss, Jér, Ézé, et les douze petits prophètes s'attribuent eux-mêmes aux auteurs portant le même nom. Les Psaumes s'attribuent à David. Les proverbes et cantiques de cantiques s'attribuent eux même à Salomon, et Etc s'attribuent au Fils de David. Dan, Esd, Néh, s'attribuent eux même respectivement, Jac 1 et 2.Pier, et Jude portent le nom de ces écrivains. Les épîtres de Paul sauf Hébreu, s'attribuent eux même à Paul. L'Apocalypse s'attribue elle-même à Jean.
Les livres anonymes sont Gens, Jo, Juge, 1-2 Sam, 1,2 Roi, Job, Ruth, Lamentation de Jér, Es, 1-2 Chro, Math, Marc, Luc, Jean, Actes, 1-2-3 Jean, et Hébreux.
De tous les écrivains nommés ci-dessus comme les auteurs des livres de la Bible, quelques-uns se sont attribués plus d'un livre. Moïse en a 4, Salomon 3, Pierre 2, Paul 13, d'autres écrivains ont seulement un livre qui leur sont attribués.
Maintenant portez à votre mémoire que les livres de la Bible sont dans les textes hébreux originaux et les textes grecs arrangés différemment de la Bible anglaise et française.
1. Gen.
2. Exo
3. Lév.
4. Nom.
5. Deut.
6. Jos.
7. Jug.
8. 1 Sam.
9. 2 Sam.
10.1 Roi.
11.2 Roi.
12.ABa.
13.Jér.
14.Ézé.
15. Osée
16. Joel.
17. Amos.
18. Abdias.
19. Jonas.
20. Michée.
21. Nahum.
22. Habacuc.
23. Sophonie.
24. Aggée.
25. Zach.
26. Mala.
27. Psau.
28. Prov.
29. Job.
30. Cant
31. Ruth.
32. Lsm.
33. Ecc.
34. Esther.
35. Dan.
36. Esdras.
37. Néh.
38. 1 Chron
39. 2 Chron
40. Math.
41. Marc.
42. Luc.
43. Jean.
44. Actes.
45. Jac.
46. 1 Pier.
47. 2 Pier.
48. 1 Jean
49. 2 Jean.
50. 3 Jean.
51. Jude.
52. Rom.
53. 1 Cor.
54. 2 Cor.
56. Gal.
56. Éphé
57. Phl.
58. Col.
59. 1 Thess
60. 2 Thess
61. Héb.
62. 1 Tim.
63. 2 Tim.
64. Tite.
65. Phm.
66. Apoc. Le nombre est 66 ou 6 x 11. Les livres anonymes sont 22 ou 2 x 11. Les livres non anonymes sont 44 ou 4 x 11. De ces 44 ; 22 ou 2 x 11 appartiennent à des écrivains de plus d'un livre, et 22 appartiennent à des écrivains d'un seul livre. La somme de ces 66 chiffres ou 6 x 11 est 2,211 ou 201 x 11. Ce nombre est divisé ainsi: Les 22 livres des auteurs de plus d'un livre ont 946 ou 86 x 11. Les autres 44 ont 1,265 ou 116 x 11. De ces 66 livres, 21 sont des épîtres, leur nombre est 45 à 65 i.e. de Jacques à Phil (voir tableau). Maintenant la somme des 66 livres 2,211 se divise encore en épître et non-épître.
Les épîtres ont 1,155 ou 105 x 11, et les non-épîtres ont 1,056 ou 96 x 11. Moïse, David, Esaie, Jérémie, Osée, Joël et Daniel sont expressément cités dans le Nouveau testament.
Les nombres de leurs livres sont 2,3,4,6,12,13,16, 16, 27, 35 (voir tableau).
La somme est 132 ou 12x 11.
Maintenant considérez la valeur numérique des auteurs de la Bible (ceux à qui s'attribuent eux-même) en additionnant la valeur de chaque lettre.
Moïse 345
Esaie 401
Jérémie 271
Ezéchiel 156
Osée 381
Joel 47
Amos 176
Abdias 91
Jonas 71
Michée 76
Nahum 104
Habacuc 216
Sophonie 235
Zacharie 242
Aggée 21
Malachie 101
David 14
Salomon 375
Daniel 95
Esdras 278
Néhémie 113
Jacques 833
Pierre 756
Jude 685
Paul .781
Jean...............1069
Total...............7,931Total : 7,931 1 1 x 7 x 103.
La somme est 721 x 11. La somme des facteurs 7, 11, 103 est 121 ou 11 x 11. La présence de ces facteurs de "11" en relation avec le nombre, l'ordre et les noms des auteurs sont, soit accidentelle, ou voulue. Que le nombre des livres de la Bible soit un multiple de 11 peut être purement accidentel puisque malgré tout, seulement chaque onzième chiffre est un multiple de 11, la chance d'obtenir un multiple de 11 est seulement 1 dans 11.
Que ce nombre soit ainsi divisible dans les livres anonymes et non-anonymes, et que chaque classe soit aussi un multiple de 11 ; ceci peut aussi être accidentel, mais la chance en est seulement 1 dans 121 ou 11 x 11.
Que ce nombre soit ainsi divisible par 11 parmi les auteurs d'un seul livre ou de plusieurs soit dû à la chance, mais la chance de cette coïncidence est seulement de 1 sur 1,331 ou 11 x 11 x 11.
Si on veut aller encore plus loin dans les 8 figures de 11 montrées, chacune d'elle peut Etre accidentelle mais la chance est seulement de 1 dans 11 à la puissance de 8 ou 214,358,881.
Maintenant la somme des valeurs numériques des 26 auteurs (7,931) est aussi un multiple de 7. De ce nombre les 21 écrivains de l'Ancien testament ou 3 x 7 ont 3,808 ou 544 x 7, et les écrivains du Nouveau testament ont 4,123 ou 589 x 7. Des 3,808 de l'Ancien testament, 2,933 ou 419 x 7 appartiennent aux écrivains de Loi, aux prophètes de Moïse à Malachie, et 875 ou 125 x 7 appartiennent aux écrivains soi-disant Hagiographes de David à Néhémie.
Sept des 21 écrivains de l'Ancien Testament ou 3 x 7 sont expressément cités dans le Nouveau testament : Moïse, David, Ésaie, Jérémie, Daniel, Osés, Joël.
Leur valeur numérique est 1,554 ou 222 x 7. La valeur numérique de Moïse qui vient en tête de la liste, et de Jean qui la termine, 346 et 1,069 donnent 1,414 ou 202 x 7.
La Bible débute avec le mot Hébreu "commencement" et termine avec le mot grec hagios, "Saint". Ce mot hébreu apparaît dans les livres suivants :
Gen, Exo, Lév, Nom, Deut, 1 Sam, Esaie, Jér, Ézé, Osée, Amos, Mich. Psaumes, Prov, Job, Eccl, Daniel, Néh, 2 Chro.
Le mot grec apparaît dans les livres suivants du Nouveau testament : Mat, Marc, Luc, Jean, Actes, 1,2, Pierre, 1 Jean, Jude, Romains, 1 et 2 Cor, Éph, Phil, Col, 1 et 2 Thess, Héb, 1 et 2 Tim, Tite, Philé, Apoc. Ces livres donnent le nombre de 42 ou 6x7. Prenez le nombre respectif de chacun des livres dans l'ordre de leur place (voir tableau) et la somme est 1575 ou 22fi x 7
Ces 8 figures de 7 en relation avec l'ordre et les auteurs des livres peuvent aussi être accidentels, mais la chance pour que ces 2 figures 7 et 11 arrivent ensemble est de 1 sur 1 billion.
I1 est clairement démontré que le nombre actuel des livres de la Bible n'est pas accidentel mais bien voulu. On a vu que la proportion entre les livres anonymes et non anonymes est prévue. On a vu que la proportion entre les nombres de livres appartenant à un écrivain et le nombre de livres appartenant aux auteurs de plus d'un livre est voulu. On a vu que la proportion des épîtres et non-épîtres dans la Bible est voulue. On a vu que le nombre de livres du Nouveau testament dans lesquels les écrivains de l'Ancien testament avaient été cités était voulu. On a vu que les noms des 26 auteurs étaient voulus.
En supposant que ces phénomènes mathématiques dans l'ordre, dans l'unanimité, et dans le non-unanimité repose seulement sur des auteurs humains. Ils sont entièrement inexplicables, mais en supposant qu'un Esprit Supérieur Mathématique, l'Auteur mathématique de la nature, eût projeté ces numériques (inconsciemment par les écrivains eux-mêmes), aussitôt cela expliquerait non seulement ces phénomènes, mais encore des milliers de semblables qui peuvent être énoncés.
Aucun homme ne pourrait par ses propres capacités accomplir l'exploit d'introduire autant de phénomènes numériques. Selon les lois de la probabilité, il y a une chance sur 191,581,231,380,566,414,401 (21 chiffres ou 3x7 !) Pour qu'un paragraphe de la Bible contiennent vingt-quatre phénomènes mathématiques basés sur le chiffre 7. Parler de hasard c'est mathématiquement exclu !
Cela inciterait-il les savants critiqueurs du monde, les athées, et les infidèles à plier genou devant Jésus-Christ, et d'accepter les écritures ? Non, en effet ! Car plusieurs d'entre eux qui ont déjà confronté ces faits les mettent de côté en disant, soit qu'ils n'ont pas le temps de faire des recherches là dessus ou qu'ils ne sont pas intéressés par les mathématiques de la Bible. "Le monde avec leur sagesse ne connaît pas Dieu" et "l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu," peut importe la grandeur des évidences de l'inspiration divine présentée.
Si 1'Éternel Christ lui-même n'a pu convaincre les savants de son temps, aucun phénomène numérique révélé de nos jours ne pourra convaincre ceux qui ne veulent pas être convaincus.
"Voici la condamnation, c'est que la lumière est venue dans le monde, et l'homme a préféré les ténèbres plutôt que la lumière parce que leurs oeuvres étaient mauvaises."
La valeur de ces découvertes repose principalement dans leur pouvoir de confirmer la foi de ceux qui ces derniers jours sont nés de nouveau en les encourageant, comme la grande révélation d'archéologie de ces derniers jours à proclamer avec un pouvoir renouvelé l'Ancien Testament qui accompagné du pouvoir convainquant de l'Esprit-Saint, est capable de renverser l'infidélité de ceux qui sont aveuglés par les ennemis de l'âme.
Au sujet des travaux du Dr Panin, le Prof. A. Gordon Melvin, de New York, très en vue dans le domaine de l'éducation laïque, a effectué un pèlerinage à Aldershot, Can. pour rencontrer le Dr Panin, et il nous a remis le rapport suivant :
"Après avoir conversé avec le Dr Panin et scruté son travail, je crois qu'il est temps pour ceux qui connaissent cette oeuvre de déployer un effort concerté pour la rendre disponible à ceux qui ignorent son existence. J'ai constaté que le Dr Panin possède des données sous forme de concordances numériques représentant des années de travail. Je suis inquiet en constatant leur état périssable.
NOTE : La Nobell Foundation a considéré ces manuscrits tellement importants, qu'une caméra spéciale a été installée pour photographier chacune des quelque 43,000 feuilles. Elles ont été vérifiées depuis quant aux erreurs mathématiques, et quelques corrections ont été effectuées. Des caractéristiques numériques additionnelles ont été découvertes par les érudits chargés de cette vérification.
Le Dr. W. Bell Dawson, savant canadien bien connu, nous a écrit :
Je suis d'accord avec ce que vous dites au sujet des travaux du Dr Panin, dont je suis conscient depuis un certain nombre d'années. Je suis particulièrement intéressé par l'influence qu'ils peuvent avoir sur le choix des "lectures diverses" par la population. J'espère que son oeuvre magistrale sera continuée.
Le Dr Arthur I. Brown, éminent médecin canadien et conférencier biblique bien connu, qui a maintenant rejoint son Créateur, a aussi visité le Dr Panin et nous a écrit pour nous inciter fortement à répandre son oeuvre par tous les moyens possibles.
Le Dr D. M. Panton, éditeur de The Dawn et professeur de Bible bien connu de London, dit :
"La découverte du Dr Panin, une des plus renversantes qui puissent être faites ; est un des cataclysmes de Dieu pour la crise finale C'est l'arrêt de mort de la critique destructive, non pas, malheureusement, que les critiques vont être convaincus, car les fondements de leurs doutes reposent beaucoup plus profondément que dans l'intelligence ; et quand leurs croyances fermes sont réfutées, ils déplacent le problème ; néanmoins, pour tous ceux qui font honnêtement appel à l'intelligence, cette découverte fournit une manifestation intelligente de la miséricorde de Dieu, qui rencontrera chaque âme sur son propre terrain. Celui qui analyse l'Écriture de façon
destructive se retrouve dans la situation d'un analyste infantile aux prises avec des complexités qu'il n'avait jamais imaginées.
L'inspiration verbale de la Bible est ici démontrée mathématiquement, laissant loin en arrière toute machination essayant de la détruire. L'Écriture se révèle comme un parchemin qui, exposé à la lumière, fait ressortir l'autographe de son Artisan ; un texte qui comporte précisément cette marque d'une arithmétique miraculeuse qui se retrouve dans la chute mathématique parfaite des flocons de neige, et dans les enroulements parfaits d'une coquille.
Aux critiques du Dr Panin je dirais : "Mettez-vous ses chiffres en question ? Si oui, où s'est-il trompé ? Sinon, leur portée est incontestable. Vous ne pouvez argumenter contre les mathématiques".